La plupart des hommes, pour ne pas dire la majorité des pères de famille qui assure le ravitaillement mensuel ou les dépenses quotidiennes, déteste ce plat.
Et pourtant la majorité des femmes l’adorent pour ne pas dire le vénèrent. Le domodaa à cette particularité, méprisé par les uns, adulé par les autres.
Voilà tout le vécu de l’Homme sur cette terre. Aucun Homme, depuis la création jusqu’à nos jours, n’a déjà fait l’unanimité. Quelques soient les prouesses accomplies, il y aura toujours des critiques. Le domodaa nous montre comment agir en devenant un plat ouvert aux agrumes (limon, daqar, piment) qui améliorent son goût même sans participer à la cuisson.
Etre persévérant et accepter les critiques d’où qu’ils viennent en y tirant tous les enseignements nécessaires pour continuer à aller de l’avant.
Malgré ses nombreux détracteurs, le domodaa tient toujours debout.
Ceux sont ceux-là qui le détestent le plus, les hommes, qui financent en même temps sa cuisson, qui contribuent à son expension, qui accroissent son notoriété. Donc ne jamais rayer de sa vie les critiques, ils sont là pour nous perfectionner, nous encourager, ils financent en quelques sortes notre réussite.
« Sois proche de tes amis pour savoir sur qui compter en cas de besoins, mais encore plus proche de tes ennemis pour savoir quoi changer en cas de faux-pas sur le chemin de la réussite. »
#VotreDirecteurSpirutuel
#BaayMustafaaKaytaToggkatBi
#QuandNosPlatsNousInstruisent