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POLITIQUE, JUSTICE ET SÉCURITÉ À LA UNE DES JOURNAUX

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Les quotidiens reçus mardi à l’Agence de presse sénégalaise (APS) évoquent des sujets se rapportant à la politique, la justice et aux opérations de sécurisation de Casamance.
En politique, Sud Quotidien note que la coalition Yewwi askan wi (YAW, opposition) ’’dit niet’’ aux parrainages pour les élections législatives prévues en juillet.
Les leaders de YAW l’ont fait savoir, lundi, en conférence de presse. Ils invoquent l’arrêt rendu le 28 avril 2021 par la Cour de justice de la Cedeao qui estime que le système de parrainage adopté pour la présidentielle de 2019 ’’viole le droit de libre participation aux élections’’.
Les partis, coalitions de partis et candidats indépendants aux élections législatives ont l’obligation de réunir 34.580 parrainages dans sept des 14 régions du pays pour participer aux législatives.
Selon Sud, ’’pour sa première sortie après les élections locales, la coalition constituée autour de Khalifa Sall, Ousmane Sonko, Moustapha Sy du PUR et autres s’est prononcée sur quelques points dont les résultats des élections locales, le parrainage’’.
’’Khalifa Sall et Cie sont montés au créneau pour fustiger et dire non au système de parrainage que le président de la République veut leur imposer’’, ajoute le journal.
 ‘’Parrainage aux législatives : pluies de contestations’’, affiche à sa Une Enquête qui souligne que sur cette question, la société civile et les politiques ‘’accusent Macky Sall, de vouloir éviter la cohabitation. Selon la publication’’. ‘’Les Mouvement Y en a marre, FRAPP, etc., menacent de descendre dans la rue’’, selon le journal.
Dans le quotidien, Cheikh Tidiane Dièye, un des responsables de l’opposition déclare : ‘’Nous n’accepterons pas que ce système soit un élément constitutif de l’élimination de liste de l’opposition’’.
Selon L’Info, ‘’YAW nargue Benno Bokk Yaakaar’’. ‘’Après avoir passé au laser hier, les résultats des dernières élections locales, Yewwi Askan Wi en est arrivée à la conclusion que le président Macky Sall et ses alliés de BBY ont non seulement été défaits, mais sur une dégringolade irréversible qui va se confirmer aux prochaines législatives’’, écrit la publication.
Sur cette question électorale toujours, le quotidien Kritik aborde le cas de l’ancien maire de Dakar. ‘’Gracié par le chef de l’Etat, mais toujours sous le coup de la Loi, même si ses droits civiques n’ont jamais été déchus par le juge, Khalifa Sall compte briguer le suffrage des Sénégalais lors des prochaines législatives’’, note la publication.
‘’Le candidat XXL de la coalition Yewwi Askan Wi vise certainement le siège de Moustapha Niasse, président de l’Assemblée nationale, mais il faudra à l’ancien maire de Dakar, de se départir des considérables et insinuations le confinant dans un statut non éligible avant d’aller à la quête des suffrages des citoyens’’, ajoute le journal.
D’autres journaux mettent en exergue la conférence de presse de l’Union des magistrats sénégalais (UMS).
Selon L’Observateur, ‘’l’UMS rappelle Sonko à l’ordre’’ suite à la sortie du député de l’opposition Ousmane Sonko qui avait récemment critiqué le fonctionnement de l’institution judiciaire. M. Sonko est sous contrôle judiciaire depuis mars 2021 dans l’affaire du viol présumé qui l’oppose à la jeune Adji Sarr.
‘’Sortie contre la justice : l’UMS recadre Ousmane Sonko’’, dit L’AS qui écrit : ‘’l’Union des magistrats sénégalais (UMS) n’en peut plus des attaques personnelles contre ses membres et autres actes de défiance dont fait l’objet l’Institution judiciaire’’.
‘’Très en colères, le juge Ousmane Chimère Diouf et ses camarades ont fustigé une attitude qui sape la courtoisie et l’échange d’idées qui font le lit de la matière judiciaire’’, indique le journal l’AS.
Le Quotidien abonde dans le même sens et titre : ‘’sortie du leader du PASTEF contre les magistrats : l’UMS sermonne Sonko’’.
Selon Le Soleil, ‘’l’UMS dénonce des attaques injustifiées’’.
’’Les magistrats étalent leur colère’’, souligne Walfadjri. ‘’ La polémique sur l’affaire Adji Sarr, précipitée par la sortie médiatique d’Ousmane Sonko, a fait sortir les magistrats de leur mutisme. Le président de l’Union des magistrats sénégalais (Ums), Ousmane Chimère Diouf, a tenté, hier, de remettre les pendules à l’heure’’, écrit le journal.
Le quotidien Bës Bi Le Jour revient sur l’opération de sécurisation menée par l’armée sénégalaise dans le Nord Sindian, (département de Bignona) en Casamance, depuis dimanche.
’’Démantèlement des bases du MFDC : Salif Sadio dans le viseur’’, titre le journal. ‘’La der pour Salif Sadio ? L’Armée n’entend pour rien au monde laisser l’occasion lui échapper. Depuis dimanche, c’est le feu autour des bastions qui restent du MFDC. Tampindour est déjà tombée’’, écrit ce quotidien.
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