Ouverture Dialogue National: Me Ousmane Ngom et Me El Hadji Diouf ont fait leurs plaidoiries.

Les gens ont peur de la vérité. Si ce n’était pas le cas, on n’en serait pas là, d’après l’ancien ministre de l’Intérieur Ousmane Ngom.

Present à la cérémonie d’ouverture du dialogue national il a signalé que les problèmes qui sont notés depuis le début du processus électoral ne devraient pas être poussés jusque-là. « Il y a eu des candidats injustement éliminés par le Conseil constitutionnel, les doubles nationalités, les suspicions au sein du Conseil constitutionnel, entre autres, méritent d’être clarifiées », affirme Me Ousmane Ngom. De l’autre côté, Me El Hadji Moustapha Diouf.

S’adressant au président Macky Sall, il dira :  » Même si vous avez terminé votre mission, vous avez le devoir de ne pas laisser le pays dans cette situation. »
Candidat recalé à la Présidentielle, Me Diouf ayant pris part au dialogue national. Lors de son discours, l’avocat s’est d’abord attaqué aux candidats à l’élection Présidentielle et autres politiques qui ne sont pas venus répondre à l’appel du Chef de l’État.

Dailleurs, il a refusé catégoriquement qu’il y ait une loi d’amnistie. « Ils ont été violents. Il faut les sanctionner », dit-il.

En outre, Me Diouf demande la reprise du processus pour la participation de Karim Wade et de Rose Wardini sous la coupole du Président. « Macky ne doit pas partir. Il doit rester jusqu’à l’élection d’un nouveau Président ».

L’avocat n’a pas épargné aussi à la presse internationale et au Conseil constitutionnel.

Malgrés l’absence de 17 Candidats Retenus par le CC, Le Président de la République Tiens au Dialogue pour la Paix et LA Stabilité DU Pays.