qui ont suivi son couronnement venant des sénégalais à travers les médias, la Une des journaux et surtout dans les réseaux sociaux. Pour la première fois depuis longtemps que je me rappelle, la littérature a occupé le devant de la scène pendant plusieurs semaines.
J’avoue que j’étais très content comme beaucoup de sénégalais de voir notre compatriote l’écrivain Mbougar Sarr, à travers son livre être primé au prix Goncourt. J’ai eu un boom au cœur en voyant les
félicitations
J’ai failli sauter de joie pour ne pas dire danser de voir l’une des invités de notre club de lecture Diary Sow, à travers son nouveau livre « Je pars » enrichir son jeune parcours. Je me suis rejoui de voir son livre qui vient de paraître être partagé comme de petits pains, et des extraits commentés tout au long de la semaine.
Étant un passionné de la lecture, faisant partie des clubs littéraires au lycée, coordonnateur actuel d’un « club de lecture », membre d’un « Café littéraire », oeuvrant sans cesse pour la promotion de la littérature dans les espaces scolaires, vous comprenez toute ma joie de voir les sénégalais s’intéressaient aux livres et à la littérature en générale pendant presque 2 semaines durant, même si, pour la plupart ayant lu que des extraits d’une page.
Maintenant le revirement qui a suivi le prix de Mbougar après la découverte de certaines passages de son livre primé, la colère emmagasinée envers Diary Sow depuis sa disparition volontaire avec son lot de désolations, n’intéresse pas le lecteur en quête d’une composition maîtrisée de la rédaction d’un récit, une merveille de conception dans l’élaboration littéraire d’une œuvre, la richesse d’un récit avec une documentation bien nourri.
Notre club a reçu Diary Sow après la sortie de son 1er livre « sous le visage d’un ange », un pur délice et avons hâte de la recevoir de nouveau si jamais l’occasion se présente pour « Je pars ». J’ai lu « De purs hommes » de Mbougar en 2019, et certainement le livre polémique dans les jours à venir et nous espérons qu’il sera notre invité un de ses jours. Les personnages et leur vie ne nous intéresse guerre, nous nous intéressons à la production intellectuelle fournie, aux talents de ces jeunes.
Les écrivains au Sénégal sont tellements talentueux qu’ils peuvent décrocher n’importe quel prix de littérature dans le monde.
Allez lire « Ces moments là » qui a remporté le prix « Aminata Sow Fall » de Falia mon écrivaine préféré. Allez lire « Ma fille » de Mouhamadou Fallilou Dioum traduit en plusieurs langues dans le monde, aller lire les livres de ces jeunes sénégalais primé au concours immaculée tel que : l’enfer du présent de Ousmane Gueye , femme osez dénoncer de Ismaila Niang . Allez lire les poésies de Brice Dier Koue à travers son œuvre « Silence Bruissant », « A l’orée du trépas » de Khalil Diallo.
#ToutPourLaLiterrature
#BaayMustafaaFuguraas
#JeSuisMaitreDeMaPlume