La plume est à vous : La dictature est debout ( Moustapha Black Thiam )

Koyaga le grand féticheur tyran mal aimé de son peuple décide de passer à l’étape supérieure puisqu’il n’est pas éligible, alors donc, Le vote des bêtes sauvages n’aura pas lieu à son profit, il faut sans tarder évincer l’opposant le plus farouche pour lui empêcher d’être président.

Ce que le brave peuple refuse d’accepter, la résistance s’installe dans tout le terroir, et La Chronique d’une journée de répression anime le débat de la rue.

Il faut continuer la lutte car Allah n’est pas obligé d’être juste, Le procès verbal est d’une fallacieuse conspiration ignominieuse, on n’y voit que le cas du loup et l’agneau, le marteau est mis par dessous de l’enclume, la robe noire n’a plus de valeur, sans doute.

Il vivra l’Étrange destin de Wagrin, le jour où il fera face au Noeud de Vipères qui l’attend une fois extirpé du tara dynastique.

Le pays est dans le choas, Le monde s’éffondre, et Mère se révolte, donc mêmes Les Femmes de silex s’y mêlent jusqu’aux Bouts de bois de Dieu.

L’Étranger fuit le pays pour ne pas subir Les Coups de pilon arme des jeunes face à la bavure policière impunie, la liberté d’expression est confisquée et la République de Platon devient une rue publique.

Le Prince machiavélique est passé par là, peut être demain dès l’aube la victoire éclatera et on écrira aux martyrs Une si longue lettre pour leur faire savoir que leur lutte n’était pas vaine.

Voici les fruits, la démocratie dans la justice et la justice dans l’indépendance absolue.

Sous l’orage, la lutte continue👀✍🏾👑.

#FreeSénégal🇸🇳
Bl@ck🇸🇳👊🏾✊🏾🇸🇳 Hasta la victoria siempre!