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La baisse des loyers et d’autres sujets à la Une

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L’entrée en vigueur de la mesure de baisse des prix du loyer et d’autres sujets sont à la Une des quotidiens reçus mardi à l’Agence de presse sénégalaise (APS).

 

Libération explique ‘’ce qui va changer’’ dans le secteur du loyer et signale que la baisse des prix est effective depuis le 1er mars. Le ministre du commerce, de la consommation et des PME compte mener une vaste campagne de sensibilisation et de contrôle pour faire respecter la mesure.

Selon Vox Populi, les baisses sont de l’ordre de 15% entre 0 et 300 000 francs Cfa, 10% entre 300 000 et 500 000 francs Cfa et 5% au-delà de 500 000 francs Cfa.

Le journal précise que ‘’seuls +les locaux à usage d’habitation+ sont concernés, ceux pour les ateliers, boutiques, bureaux sont exclus du champ de la mesure’’.

Selon L’Info, ‘’les locataires sont entre craintes et lueurs d’espoir’’.

‘’Craignant déjà le syndrome de la loi de 2014, certains locataires alertent déjà les autorités étatiques contre les bailleurs récalcitrants qui trouvent toujours des voies de contournement de la mesure, avec à la clé, des expulsions pour motifs de réhabilitation et autres astuces pour virer les bénéficiaires de la loi et ensuite augmenter les prix’’, écrit le journal.

L’Observateur souligne que le projet de décret portant création et fixant les règles d’organisation et de fonctionnement de la Commission nationale de régulation du loyer des baux à usage d’habitation a été adopté mercredi en Conseil des ministres.

Dans L’Obs, le nouveau président de la Commission nationale de régulation des loyers des baux à usage d’habitation (Conarel) au ministère du Commerce, de la consommation et des Pme, Momar Ndao, déclare que ‘’la mesure est effective, donc les bailleurs n’ont qu’à appliquer les textes’’.

‘’Nous allons commencer immédiatement. Le travail n’attend pas. On va donner tous les numéros à contacter et tous les différents éléments qui permettent de saisir la commission. Ceux qui ne respectent pas les textes seront sous le coup de la loi de 1981 sur la hausse illicite des loyers et ils risquent une peine de prison et une peine d’amende’’, a soutenu Momar Ndao.

Le quotidien Le Soleil met en exergue ‘’le grand bond en avant de Sédhiou’’ dans le secteur de la santé. Selon le journal, la construction de l’Hôpital Amadou Tidiane Ba, inauguré, mercredi, par le chef de l’Etat en tournée à Sédhiou, ‘’a considérablement renforcé la carte sanitaire de la région au grand bonheur des usagers’’.

La publication souligne également que le conseil des ministres a validé le programme triennal de 400 milliards de francs Cfa consacré au développement de la région.

Sud Quotidien s’intéresse au fonctionnement de l’Assemblée nationale et constate que ‘’plus de 5 mois après son installation (…), la 14e législature semble réduire son fonctionnement au traitement des dossiers reçus de l’exécutif et autres participations à des ateliers’’.

‘’En effet, nonobstant les multiples affaires (rapport Covid-19, vente de l’hôpital Le Dantec, affaire du contrat de 45 milliards d’armement…) qui alimentent le débat public et sur lesquels son implication aurait permis d’éclairer la lanterne des Sénégalais, la présente Assemblée nationale est aphone’’, déplore Sud.

Le quotidien Bës Bi se souvient des émeutes de mars 2021 et parle de ‘’2 ans d’impunité’’.

‘’Ce vendredi, le Sénégal va commémorer l’an 2 des émeutes du mois de mars. Une dizaine de morts sans coupables jusqu’ici malgré l’annonce du gouvernement en avril 2021 de mettre en place une commission indépendante’’, selon le journal.

‘’C’est une tache noire dans l’histoire politique du Sénégal, un chaos qui a fait vaciller les institutions et le président de la République n’en revient toujours pas (…). Ce 3 mars 2021, lorsque l’opposant Ousmane Sonko a été arrêté pour +troubles à l’ordre public et participation à une manifestation interdite+, le pays bascule dans la violence inouïe’’, rappelle le quotidien.

M. Sonko, le leader de Pastef, accompagné de centaines de ses partisans, avait été arrêté alors qu’il devait répondre à la convocation du Doyen des juges d’instruction, Samba Sall pour ‘’viol suivi de menaces de mort+ suite à la plainte de Adji Sarr, une masseuse dans le salon Sweet Beauté.

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