Le Secrétaire nationale à la communication de l’ex parti Pastef, El Malick Ndiaye, ne digère toujours pas l’invalidation de la candidature de son leader Ousmane Sonko. Selon lui, il est victime de manigance et complots à travers le dossier « de diffamation imaginaire » l’opposant au ministre du tourisme Mame Mbaye Niang.
A cet effet, il n’a pas manqué de pointer du doigt le conseil constitutionnel qui, selon lui, a confisqué la volonté populaire en écartant « le chef de l’opposition, candidat favori de la course présidentielle pour un simple lapsus ».
Choisir un dossier de diffamation (imaginaire), entre deux acteurs politiques, pour éliminer le Président Ousmane SONKO s’inscrit dans votre ferme volonté de tourner le dos au vaillant PEUPLE Sénégalais et l’histoire vous jugera.
L’histoire retiendra qu’en 2024, dans un pays qui fut une vitrine démocratique, sept magistrats ont confisqué la volonté populaire en écartant le chef de l’opposition, candidat favori de la course présidentielle pour un simple lapsus : avoir dit IGE à la place de IGF car personne ne nie l’existence du rapport. Un motif aussi léger… Une condamnation à 6 mois avec sursis pour un lapsus. Soit !
Le projet d’un Sénégal souverain dans une Afrique en progrès est cependant intemporel et IMPERSONNEL. Maintenant, pour l’égalité des chances entre candidats, le Président Bassirou Diomaye Faye, candidat de l’opposition véritable et de la rupture doit être immédiatement libéré.