google.com, pub-8963965987249346, DIRECT, f08c47fec0942fa0
Informer juste notre devoir !!!

Bassirou Diomaye Faye plaide pour l’intégration sous-régionale

0 56

Au cours de sa visite de travail et d’amitié effectué ce jeudi au Mali et destinée au renforcement des relations de coopération bilatérale entre les deux pays voisins, le Président de la République du Sénégal a fait un plaidoyer en faveur de l’Alliance des états du Sahel et de la CEDEAO.

Bassirou Diomaye Faye a rappelé les liens historiques qui unissent le Sénégal et le Mali.

Le renforcement de ces liens, les deux pays veulent le matérialiser sur le plan diplomatique et commerciale en rapport à « une concentration pour la prise en charge de tous les défis » que partagent l’axe Dakar-Bamako.

Pour Bassirou Diomaye Faye, ces défis ont pour nom : le terrorisme, la lutte contre le trafic illicite, notamment la traite des personnes et le trafic transfrontalier de drogues. À côté de ses défis, d’autres non moins importants sont inscrits au tableau. Il s’agit de défis écologiques au niveau de la Falémé, car les deux pays partagent une ressource précieuse qu’est l’eau à travers l’OMVS.

Le Chef de l’Etat sénégalais s’est réjoui d’avoir trouvé en Assimi Goïta, Président de la transition malienne « une disponibilité et un engagement qui peut aider à renforcer la coopération bilatérale et la concertation sur le plan multilatéral au niveau régional, sous-régional et international ».

Les deux chefs d’État ont abordé la question en rapport avec la CEDEAO. Bassirou Diomaye Faye dit avoir « compris la position malienne qui, quoi que rigide n’est pas totalement inflexible ». Il a appelé toutes les parties prenantes « à travailler et ne pas se décourager à trouver des issues heureuses qui permettent de renforcer l’intégration, soit en passant par la coopération bilatérale et corriger les impairs notés dans la coopération multilatérale notamment au sein des instances sous-régionales et régionales qui ont valu cette situation regrettable actuelle ».

Pour Bassirou Diomaye Faye, « les pays ne peuvent pas se résigner à observer un outil d’intégration aussi formidable dans sa conception compte tenu des résultats qu’il a valus et qui a été cité en exemple se désintégrer sans ne rien faire ».

Leave A Reply

Your email address will not be published.