Le tribunal des flagrants délits a donné une suite favorable à une requète introduite par la partie civile qui dit n’avoir pas eu accès au dossier.
Le juge, a, dans la foulée, rejeté la demande de liberté provisoire introduite par les avocats de la défense.
Les quatre sages-femmes placées sous mandat de dépôt depuis le 19 avril resteront en prison. Les deux autres avaient été inculpées et remises en liberté.
De nombreuses personnes s’étaient déplacées au tribunal de Louga (nord) aux premières heures de la matinée pour assister au procès.
Il s’agit de dizaines de personnes visibles devant le tribunal et ses alentours. Parmi elles, de nombreux agents de santé, venus apporter leur soutien aux sages-femmes pointées du doigt dans cette affaire.