Abdou Mbow, président du groupe parlementaire BBY dit « Non à l’arbitraire et Non à la tentative de musèlement de la presse ». Il dénonce les convocations des journalistes.
« Après les convocations de la police suivies d’arrestations et condamnations arbitraires de lanceurs d’alerte et de prêcheurs religieux, c’est au tour des journalistes de répondre aux convocations. La liberté d’opinion doit être garantie à tout citoyen parce qu’elle est le socle de la liberté », assène Abdou Mbow.
Il ajoute : « même si les postures changent au gré des positionnements dans la sphère politique, il faut veiller à laisser notre vitrine démocratique. Est-il désormais interdit de parler du premier ministre et chef de parti Ousmane Sonko ? Quelle farce de mauvais goût ? ».