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Informer juste notre devoir !!!

Les états généraux des transports, Les autoroutes du Sénégal partie prenante .

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Je suis Dr. Ibrahim Sall , Directeur Général de la Société des Autoroutes du Sénégal. Aujourd’hui, il y a un état général du transport public.

Comment décririez-vous l’univers créatif de la Société des Autoroutes du Sénégal ?

Je pense que toutes les activités liées au transport doivent être prises en compte. Je crois que les états généraux doivent retrouver leur sens, car si nous voulons résoudre les problèmes liés à l’accidentologie, en particulier sur les routes et les autoroutes, il nous faudra travailler avec les parties prenantes.

 

Je pense que c’est l’ordre du jour, et ce que nous avons déjà commencé. C’est la troisième phase, car il y avait déjà une première phase qui ne concernait que les acteurs étatiques. Il y a eu une deuxième phase avec certains acteurs. Maintenant, cette troisième phase vise à rassembler toutes les parties prenantes, y compris les acteurs privés, étatiques et autres, afin de proposer une manière concrète de résoudre les problèmes du secteur et de lutter contre l’accidentologie observée sur le réseau.

 

Personnellement, je gère le réseau autoroutier, où l’on constate encore de nombreux accidents. Je pense que ces accidents sont principalement dus à un excès de vitesse. Nous travaillons donc avec les parties prenantes, et tout cela sera consigné dans un mémorandum. Des mesures seront prises pour essayer d’atténuer cette situation qui nuit à la santé et à l’économie du pays dans son ensemble.

 

Concernant les infrastructures routières et autoroutières, nous avons l’intention de prendre, par exemple, des décisions qui nous aideront, les parties prenantes et les usagers de la route, à mieux comprendre.

Nous définirons les actions sur lesquelles nous devons travailler ensemble afin de pouvoir nous entendre. Par exemple, sur les autoroutes, nous avons décidé de revoir un peu le secret de la police, les problèmes liés aux sorties sur les routes à péage, car nous avons constaté de nombreux embouteillages sur les voies de sortie, qui sont forcément dus à la congestion sur le reste du réseau.

 

Il y a des usagers qui utilisent le réseau autoroutier, mais qui n’ont rien à voir avec les gestionnaires du réseau routier. Si des congestions se produisent sur les sorties d’autoroutes, cela aura un impact sur le réseau autoroutier, et donc sur le trafic routier en général. Les consultations que nous avons l’intention de mener iront dans ce sens, avec les parties prenantes et aussi les gestionnaires du réseau routier, pour essayer de trouver un consensus, ou proposer des solutions techniques qui nous aideront à améliorer les routes sur l’autoroute.

 

Monsieur le Président, la République a beaucoup insisté sur le facteur humain concernant le nombre d’accidents, notamment au niveau du réseau routier. Quel est le point des ads sur la situation   pour affiner le comportement humain ?

Quelle place auront les arrestations ?

Y aura-t-il des ads ?

Oui, il y aura des arrestations. Oui, le facteur humain est le premier facteur. Même sur l’accidentologie au niveau des autoroutes, c’est ce qui a été constaté. En principe, les autoroutes offrent beaucoup plus de sécurité, car le niveau de service doit y être plus élevé, en termes de confort, de vitesse et de sécurité. Les vitesses sont limitées, mais malgré cela, la majorité des accidents se produisent sur les autoroutes.

 

Assane Diop

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