Fin mai, une journaliste du site d’information Dakar Buzz, a été « bousculée pour avoir simplement posé une question au cours d’une réunion [d’une] coalition de partis au pouvoir ».
L’organisation de défense de la liberté de la presse exhorte surtout les autorités sénégalaises à « assurer la sécurité des journalistes, surtout pendant cette période électorale particulièrement sensible, qui peut donner lieu à des dérapages et des tensions ».
« Sanctionner les auteurs des violences »
Cette dernière multiplie, depuis début juin, les appels à des manifestations publiques contre l’invalidation de l’une de ses listes de candidatures au scrutin législatif. Ces manifestations sont souvent interdites par les autorités administratives.