’’Mais, a t-il ajouté, il nous faut aussi bouleverser nos usages changer nos habitudes et nos comportements et à cette condition seulement que nous saurons partager l’eau pour l’homme et l’eau pour la nature’’.
A ce propos, il a cité en exemples l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS) et l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Gambie (OMVG).
’’Coopération plutôt que confrontation, associations plutôt que division qui permettront des terres abreuvées grâce à des fleuves protégés’’, a t-il plaidé.